Saint Germain et Mons
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PATRIMOINE


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TOUR DE MONS

Tour du XIème - XIIème siècle. En ruine et sur terrain privé. Cette tour carrée, de 4m de haut devait faire partie d’un petit ensemble fortifié.


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CHATEAU DE CUSSAC

Grande bâtisse rectangulaire du 17ème siècle. Elle appartenait au 18ème siècle à Marie de Beyne. En se mariant avec Charles de Lard, chevalier et seigneur de la Mespoule, elle lui apporta le château en dot. La terre de Cussac a été depuis vendue à des particuliers qui y font l’élevage d’ovins.


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CHAPELLE DE STE MARIE DE MONS

Chapelle remaniée au XVIIIème siècle dans le style roman.
Elle possède une nef unique et un chevet plat et surtout une façade construite en gros et bel appareil de pierre grise. Le faîte à trois pans – les rampants épousent un toit à très faible pente – est souligné comme les murs gouttereaux d’une double génoise. Sur le pan horizontal s’élève le campanile classique percé de la baie unique, plein-cintre. Le portail également plein-cintre, date de 1785 et est surmonté d’une sculpture en bas-relief décorative. Au dessus du portail sept pierres ornées, encastrées, proviennent certainement de l’ancienne église. Couverture en tuiles romanes.
La chapelle est entourée de son cimetière. Dans un angle, une statue de la vierge. Joli petit portail pour l’accès.


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CHATEAU DE LA ROQUE DE MONS

Cette maison des champs de 1774,cette chartreuse périgourdine de plain-pied, au corps de logis allongé entre deux petites ailes en retour, se trouve sur le site d’une ancienne tour de guet.
Le domaine qui appartenait à la famille de la Roque fut morcelé et vendu en 1861 à plusieurs viticulteurs. En 1882, elle fut acquise par un maître de bateau, Jacques Got.
Visiteur célèbre, William Cody (Buffalo Bill) y séjourna en octobre 1905.
Dominant la plaine de Bergerac, l’endroit inspira l’écrivain régionaliste Armand Got (1890-1970). En 1943, La Roque, lieu de réunion des résistants locaux, fut le théâtre de parachutage d’armes et la demeure, inoccupée, servit de cache.
Après la guerre, la demeure tomba en ruine. En 1989, la famille Got commença d’importants travaux de reconstruction, aujourd’hui terminés.


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ALBUM

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EGLISE STE MARGUERITE

Le premier projet de l’église date de 1846. En 1866, de nouveaux plans sont dressés par l’architecte Loze et approuvés par le maire, Mr de Baillet et par le préfet de Dordogne. 

En 1867, l’empereur Naploéon III, par son ministre de l’Intérieur, autorise emprunt et impôts. En 1868, nouveaux devis, nouveaux plans. Mais ce n’est qu’en 1876, trente ans après le début du projet, que la construction de l’Eglise commence.

Dédiée à Ste Marguerite d’Antioche (fête le 20 juillet), cette église du XIXème siècle a comme particularité un clocher-porche. 




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MANOIR DE SIREYGEOL

Demeure de la fin du XVIIIème, début XIXème siècle. Elle appartient à la famille de Baillet. Très belle perspective à partir de la façade avant. A l’abandon, malheureusement.

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PONT DE MOULEYDIER

Avant la construction du pont, la traversée de la rivière se faisait en barque et par un gué,
qui avait son accès côté St Germain à l’extrémité de la voie romaine et à l’ouest de l’embouchure du Couillou. Le gué moderne placé 150m plus en amont avait son accès rive gauche en passant près de la maison Faget. Côté Mouleydier, l’accès se faisait par la rue qui descendait au port.
Le pont actuel a été concédé en 1849 pour 99 ans à un groupe de personnes assez riches pour fournir une large partie des fonds pour sa construction. Le prix de revient fut de 130 000 francs de l’époque, dont 50 000 de l’Etat. La mise en service eut lieu en avril 1852. C’était un pont à péage. En voici le tarif :
Homme à pied : 5 centimes
Homme avec brouette : 10 centimes
Moutons, chèvres, petits cochons : 5 centimes
Cochons gras : 10 centimes
Voiture à 4 roues et 6 chevaux : 3,5 francs (si les maîtres et les domestiques restent dans la voiture, ils ne paient pas !)
En 1897, les barrières de péage sont enlevées et l’accès est libre.


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